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…ce qui implique qu’il y ait une vraie relation de confiance et de partenariat entre l’usager (le patient) et le médecin (ou l’équipe médicale) qui le suit.

Ce qui implique aussi que les médecins doivent respecter l’usager, ses choix (et ses non-choix), et ne pas l’infantiliser…

Par ailleurs, un projet thérapeutique, ce n’est pas qu’un traitement médicamenteux… même si celui-ci peut être utile, voire indispensable. « Se soigner », comme expliqué sur cette page, ça peut être aussi choisir de se faire aider par une thérapie, thérapie que l’usager devrait choisir en toute autonomie, sans se laisser influencer par des « experts » qui pensent savoir parfois mieux que lui ce qui est bon pour lui… même si bien sûr il peut écouter des conseils.

Les thérapies, il y en a de toutes sortes – des plus anciennes (comme la psychothérapie, la psychanalyse, les thérapies comportementales et cognitives) aux plus récentes (comme la psychoéducation qui permet au patient d’être informé au plus près de son trouble, la remédiation cognitive ou l’EMDR). C’est bien à chacun de « sentir » ce qui lui convient le mieux.

Le patient peut aussi faire le choix d’être suivi par une équipe pluridisciplinaire (avec des professionnels soignants, mais aussi des travailleurs sociaux, des éducateurs…), et/ou au sein de structures spécifiques. Y compris, lorsqu’il est mieux stabilisé, au sein de structures qui peuvent l’aider à retrouver une vie sociale et une place dans la société (CATTP, HDJ…).

Tout cela implique des choix, et souvent un cheminement qui demande du temps, et de laisser du temps au temps…

Tout cela implique aussi d’être informé au mieux de l’existant, ce qui n’est pas toujours évident.

Plus d’infos ici.

 

 

 

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